terça-feira, 27 de abril de 2010

La mort de l’élève

L’homme a donné son propre nom à des organismes vivants pour devenir quelqu’un de connu parmi les scientifiques. Il a signé ces tableaux et occupé une petite place dans l’histoire. Depuis qu’il existe des compétitions, l’homme cherche à devenir immortel, être reconnu même sans motif. On ne doit pas se sentir coupable de quelques tricherie. Tout le monde veut être connu pour toujours, faire partie de l’éternité. C’est le cas de l’élève. Il est un être méprisable et sans morale.
Les élèves me semblent des singes, mais sans les puces (dans quelques cas). Quelques uns préfèrent rester sur les arbres et les balancer pour prendre ce qui va tomber. Ils ne veulent que ce qu’ils peuvent utiliser tout de suite. Il n’existe pas d’effort chez la plupart des étudiants. Leur propres mots ne sont pas bien utilisés, ils sont quand même, moins utilisés que les bananiers pour les singes. Et moi, je peux en parler en connaissance de cause, combien de fois j’ai déjà fais un vrais effort ? Rarement.
L’élève triche dans les tests, fraude les travaux, et c’est la chose la plus intelligente à faire à l’Univérsité! C’est alors, la plus salutaire manière de survivre. Figurez-vous s’ils remplissaient leur tête avec toutes les choses inutiles qu’ils doivent mémoriser... Pour retenir toutes les informations, on a déjà d’autres machines. J’ai d’autres choses plus intéressants à faire : je peux satiriser ceux qui étudient beaucoup et je peux satiriser ceux qui sont dans une situation plus délicate que la mienne.
Enfin, qu’est-ce que c’est la tricherie si non l’outil le plus utile des étudiants ? C’est de la sincerité. C’est dire au maître qu’il n’a pas tout appris par coeur, qu’il vaut mieux réviser, comme tout dans la vie. C’est de la vengeance, obtenir le succès sans rien étudier. L’élève est dissimulé ; le système est dissimulé. On a des exemples par tout, il y en a aussi chez le président : dans notre système bureaucrate, il y a une équipe pour faire ses devoirs. Alors, quelle est la faute de l’élève ? Où s’arrête la responsabilité de l’élève et commence celle de l’institution ?
Une chose est sûre : il y aura toujours une réponse copiée, au maître avec tendresse.